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La santé durable & des techniques naturelles de santé

Prévention du mal de dos Programme 2017

La prévention du mal de dos a le vent en poupe 


Bonne nouvelle. La Sécurité Sociale a décidé d’entreprendre pour  2017, un programme d’information sur les lombalgies, dont 50 % des Français sont atteints, avec pour objectif de réduire les coûts de santé dus aux arrêts de travail et éviter le passage du mal de dos passager  au mal de dos chronique.

Nous ne pouvons que nous réjouir de voir que les préconisations régulièrement publiées par les organisations d’ostéopathes depuis le « Rapport sur le rôle socio-économique des ostéopathes en France » (SOK),  dont j’ai eu l’honneur d’être l’initiateur et le coordinateur, vont enfin être appliquées systématiquement.

A cette époque nous avions évalué  l’économie potentielle considérable réalisable pour le budget par la mise en place des soins d’ostéopathie précoces à  2,4 milliards de francs (soit 400 millions d’euros).

Aujourd’hui, les ostéopathes sont reconnus officiellement, et figurent  parmi les praticiens de la santé durable les plus actifs dans le domaine de la prévention et des soins coordonnés.

Reste à intégrer officiellement l’ostéopathe praticien de haut niveau de compétence et de responsabilité en tête de la chaîne de dépistage et de soins du mal de dos.

Nous sommes à la croisée des chemins pour nous diriger désormais d’un pas assuré vers un système de SANTE DURABLE, avenir de tout système de santé.

Pour 2017, la Caisse Nationale d’assurance maladie (CNAM), a pour objectif de faire l’économie de 1,4 milliard d’euros pour respecter l'objectif d'évolution des dépenses de santé.

A savoir :

Le  « mal de dos » ou lombalgie touche chaque année un Français sur deux, un cas sur cinq donne lieu à un coûteux arrêt de travail. 6700 français sont arrêtés plus de 6 mois, représentent 24 % du total des indemnités journalières versées chaque année, soit 3 milliards d’euros.  « L'enjeu est d'éviter aux patients que les lombalgies ne deviennent chroniques », explique Dominique Polton, directrice de la stratégie, des études et des statistiques de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts).

Privilégier les soins les plus efficients dont l’ostéopathie

Pour éviter le passage de la douleur transitoire à la pathologie chronique  invalidante, la prévention est la médecine reine.

D’ores et déjà de plus en plus de médecins orientent les patients vers les ostéopathes en première intention après élimination de contre-indications formelles.

Mais dans l’idéal la solution durable serait l’institution d’un bilan annuel ostéopathique et postural, pris en charge par l’ensemble des mutuelles d’assurance santé et/ou la sécurité sociale. Ceci permettant non seulement le dépistage précoce, mais aussi une éducation à la santé vertébrale aussi bien pour les enfants, les adultes que les seniors.

Ce nouveau protocole participerait de surcroît à la réduction globale des soins en retardant les maladies du vieillissement et leurs conséquences à la fois humaines et économiques.

Extrait du rapport socio-économique de 1991 : http://www.osteopathie-france.net/osteo-france/2283-l-osteopathe-n-2-1991-rapport-socio-economique

Articles sur le sujet :

http://www.actusante.net/actu/mal-de-securite-sociale-lance-campagne-6290

http://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/la-secu-fait-la-chasse-au-mal-de-dos_1803399.html

http://www.leparisien.fr/economie/plein-le-dos-des-arrets-maladie-31-08-2016-6081585.php

http://www.ouest-france.fr/sante/maux-de-dos-face-aux-nombreux-arrets-maladie-la-secu-sevit-4443734

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